Mentions légales et dialogue médical pour votre santé
Nos méthodes, offrent des approches complémentaires et innovantes pour le bien-être et le mieux-être. Elles font partie de la Santé Intégrative en étant utilisées en complément des soins médicaux traditionnels. Elles enrichissent votre parcours de santé sans se substituer aux diagnostics ou traitements prescrits par un professionnel de santé.
Excellent complément de la médecine conventionnelle
Notre Approche Intégrative & Complémentaire
Nous proposons une approche globale et collaborative, encourageant le dialogue entre les pratiques conventionnelles et complémentaires. Nous recommandons vivement aux patients de maintenir une communication ouverte avec leur médecin traitant, de partager leurs démarches de bien-être. Ensemble construisons une stratégie de santé personnalisée. Cette stratégie combine les approches médicales ainsi que les méthodes complémentaires. Nous agissons dans le respect mutuel. Nous cherchons le mieux-être global.
Nos méthodes ne se substituent en aucun cas à un Avis Médical, ni à un traitement médical
Nos méthodes (Poyet, Reiki, Magnétisme… ) ne sont pas prises en charge par la sécurité sociale. Elles ne relèvent pas des médecines conventionnelles. Nous nous engageons à ne pas donner de diagnostic. Les méthodes alternatives ne remplacent pas un traitement prescrit par un médecin. Elles ne se substituent pas à une consultation médicale auprès d’un professionnel de santé.
Références légales , le dialogue pour votre santé :
Cet Article L4161-1 du Code de la Santé Publique stipule que l’exercice illégal de la médecine est interdit, ce qui signifie que seules les personnes habilitées peuvent poser un diagnostic médical ou prescrire un traitement.
L’ Article L1110-5 du Code de la Santé Publique précise que toute personne a droit à des soins appropriés et que les pratiques non conventionnelles ne doivent pas interférer avec les traitements médicaux prescrits par des professionnels de santé.
Ce texte : Article R4127-19 du Code de la Santé Publique impose aux praticiens de respecter le libre choix du patient et de l’informer sur les traitements et leurs alternatives, y compris les limites des pratiques non conventionnelles.
La jurisprudence a progressivement renforcé le dialogue entre le médecin et le patient. Elle a établi des principes fondamentaux concernant le devoir d’information et le consentement éclairé.
L’arrêt Mercier de 1936 a posé les bases de l’obligation pour le médecin de fournir des « soins consciencieux, dévoués, attentifs et conformes aux données acquises de la science ». Cette décision a implicitement souligné l’importance d’une communication adéquate avec le patient.
L’arrêt Teyssier de 1942 a ensuite précisé que « le devoir de conscience, au regard du respect de la personne humaine commande une information claire de son patient et du recueil de son consentement éclairé pour les soins envisagés et prodigués ». Cette jurisprudence a ainsi consacré l’importance d’une information claire et du consentement éclairé comme éléments essentiels de la relation thérapeutique. Ces décisions jurisprudentielles ont jeté les bases d’une évolution vers une relation médecin – patient plus équilibrée, favorisant un dialogue ouvert et une prise de décision partagée.
Cette tendance s’est poursuivie avec la loi Kouchner de 2002, qui a officiellement consacré le droit du patient à l’information et au consentement libre et éclairé